« Dans l’électricité, il y a plus d’emplois à pourvoir que de candidats adéquats. Les perspectives d’emploi sont donc excellentes ! »

Oui, oui et oui ! Peu de diplômes offrent autant de sécurité d’emploi que celui d’électricien. Comment cela se fait-il ? Au fil des avancées technologiques, la demande d’électriciens est de plus en plus grande. Or, il n’y a toujours pas assez de jeunes diplômés pour répondre à cette demande. 

L’électricité, c’est l’avenir

Regarde donc autour de toi. Tout est de plus en plus automatisé. Qui dit automatisation, dit électricité. Et qui s’en occupe ? L’électricien, bien sûr ! Aujourd’hui, alors que le nombre de voitures électriques sur les routes et de maisons équipées de technologies intelligentes ne cesse d’augmenter, les électriciens sont plus nécessaires que jamais. Ils jouent un rôle croissant dans la transition énergétique. Pense à tous ces panneaux solaires qu’il faudra installer mais aussi aux bornes de recharge, aux pompes à chaleur, aux compteurs intelligents, … Sans oublier l’industrie, sans cesse en évolution, qui aura davantage besoin de techniciens aussi. Tout cela fait d’ailleurs la beauté du métier, car le job évolue sans arrêt. Et tu restes toujours au contact des derniers développements technologiques. Plutôt cool, non ?!

Le métier de technicien dans le secteur de l’électrotechnique est un métier en pénurie

Pardon ? Le terme « métier en pénurie » fait référence aux métiers pour lesquels les patrons ont du mal à trouver des candidats à embaucher. Le calcul est vite fait : s’il y a plus d’offres d’emploi que de candidats, les chances de trouver un job sont très élevées. Il y a toujours besoin d’électriciens, même en temps de crise, et il y a toujours des postes à pourvoir. Il arrive même souvent qu’on te propose un job alors que tu n’as pas encore ton diplôme ! Ou que l’entreprise dans laquelle tu fais ton stage te demande si tu veux rester travailler à durée indéterminée. C’est aussi rare que précieux de pouvoir intégrer une chouette boîte dès que tu sors de l’école. Quelle belle perspective !