« On travaille sur des articles électroménagers et multimédias beaucoup plus sophistiqués qu’hier. On parle aujourd’hui de wifi, de technologie 4K, de modules interchangeables, … Donc, il faut évoluer sans arrêt avec la technologie. C’est un challenge très stimulant, » confie Michaël, responsable de l’atelier de VLS Henrotte, qui répare des appareils électroménagers et multimédias à la demande de grands groupes comme Media Markt, Carrefour et la Fnac. Pour être à la pointe, l’entreprise dispose de son propre centre de formation en interne. « Et nos fournisseurs nous forment aussi en continu, pour que l’on connaisse leurs nouveaux produits. On travaille sur un grand éventail de produits, des appareils photos, des téléviseurs, des frigos, des fours à micro-ondes, des machines à café, des tablettes. Il y a aujourd’hui de l’électronique dans absolument tout. Donc quand on sait réparer des pannes électroniques, on peut travailler dans une entreprise comme la nôtre, mais aussi dans un tas d’autres secteurs, comme l’automobile, le cinéma, la musique, … C’est très large. »

Propreté et calme

Chez VLS Henrotte, le core business, ce sont les téléviseurs. La plupart du temps, ils sont réparés à domicile, par facilité pour le client. Le temps où le réparateur restait tout seul dans son atelier toute la journée, c’est donc fini. Le réparateur prend la route et bouge désormais d’un client à l’autre. Il faut donc avoir un bon contact humain, et une certaine fibre commerciale. Et s’il reste à l’atelier, le réparateur peut compter sur un cadre de travail agréable, propre et calme. « On a ce privilège, on ne travaille pas dehors dans le froid comme certaines professions, ou les mains dans le cambouis, » conclut Michaël.