Le parcours de Michael : de l'imprimerie à l'électrotechnique en 3 stages

Michael : « Je ne suis pas fait pour rester assis derrière un bureau toute la journée. Je veux travailler avec ma tête, mais je veux aussi bouger. C'est pourquoi je pensais à l'électricité depuis longtemps : dans ce secteur, on a l'occasion idéale de combiner la pensée logique et le travail manuel. »

« Ma formation par le biais du FOREM comprenait 3 stages différents, et c'est ainsi que j'ai vraiment découvert ce que je voulais faire.

Après mon premier stage, je savais déjà que l'électricité résidentielle dans les bâtiments n'était rien pour moi. J'ai cherché mon deuxième stage dans une entreprise d'électronique, même si je ne connaissais rien à l'électronique. Mais je voulais l'apprendre. La conclusion : l'électronique n'est pas ma préférée, c’est trop petit, et on ne peut pas bouger suffisamment.

Enfin, mon troisième stage chez Solarec-Avenir à Libramont est devenu mon premier lieu de travail. L'entreprise fabrique toutes sortes de produits laitiers. Là aussi, j'ai beaucoup appris pendant mon stage, car je n'ai pas été formé à l'électricité industrielle. J'ai commencé à tout chercher moi-même, j'ai vraiment commencé avec 'l'électricité industrielle pour les nuls'. Mais mon entreprise a aussi beaucoup investi dans ma formation. »

« Maintenant, j'ai été recruté comme électricien industriel. C'est vraiment mon truc, c'est un travail très varié. Nous nous occupons de la maintenance et de la résolution des pannes, mais je suis également autorisé à développer des projets moi-même.  Mon premier projet solo est l'installation d'un détecteur de chlore. C’est assez complexe, mais j'aime résoudre ce genre de problèmes.

Combiner la tête et les mains, c'est ce que je veux. »